L’énergie utile pour écrire est fluctuante, chacun qui s’essaie à cette pratique l’a un jour ressenti. J’écris plus facilement le matin lorsque je m’en accorde le temps. Les idées viennent à mon esprit sans ordre.
Dans un mouvement circulaire elliptique ou, si l’on s’y penche un peu plus, à la façon d’un ruban de Möbius, métaphore d’un inconscient langagier pour Lacan.
L’écriture tente de mettre en ordre ce flux, elle tente de canaliser le flux dans le lit d’une Rivière espérance comme il est dit dans la vallée de la Dordogne.
Parution prévue 2024